
Une conférence de PHILIPPE MARTIN, professeur d’histoire moderne et président de l’Institut Supérieur d’Etude des Religions et de la Laïcité
Nous sommes tous superstitieux, même si nous ne voulons pas toujours l’admettre.
Il y a les superstitions actives (rites de guérison par exemple) et les superstitions passives. Celles-ci nous concernent tous depuis les croyances liées au vendredi 13 jusqu’au jeux d’argent. Les crises comme la Covid favorisent leur multiplication.